Samedi 3 novembre
Mehdi (6)
- Tu veux me baiser ? Quand tu veux.
Je me retourne pour prendre un préservatif et le lubrifiant qui se trouve sur la table de nuit. Mehdi en profite pour se coller à moi en glissant son sexe bandé entre mes fesses. Ses lèvres se collent sur mon cou tandis que ces mains caressent ma poitrine.
J’ouvre l’emballage de protection de la capote et la lui tends sans me retourner jugeant que la position dans laquelle il veut me prendre me convient parfaitement.
Il se détache légèrement de moi et, comme je ne vois pas ce qu’il fait, je lui demande si tout va bien. Il me répond qu’il n’y a aucun problème et je lui donne le flacon de lubrifiant en lui recommandant d’être généreux sur la quantité.
- Tu vois, je suis plutôt douillet et mon anus n’est pas un vagin, lui dis-je.
- Oui, je vois me répond-il en riant, mais n’ayez pas peur, je vais faire ça en douceur.
Je sens la froideur du gel sur mon anus, son doigt qui me caresse délicatement puis qui s’introduit dans mon petit trou, l’embout du flacon qui me pénètre et les coulées froides du gel en moi, son doigt qui s’enfonce en tournant et qui me caresse la prostate au passage. Cette préparation est très agréable et je le laisse faire sans rien dire. Les yeux fermés, je savoure les délices de l’instant, impatient de recevoir en moi le sexe chaud de mon nouvel ami.
- Ca va ? je ne te fais pas mal ?
- Pas du tout. C’est très agréable.
- Tu crois que j’en ai mis assez ?
- Je ne sais pas, je ne vois pas, mais je crois que oui. L’essentiel, c’est que ça puisse bien glisser.
- Ok. Alors je crois que c’est bon. Si je te fais mal, préviens-moi.
- Ne t’inquiète pas. Vas-y. J’ai hâte de te sentir vibrer en moi.
Sans répondre, il se colle fortement à moi en glissant à nouveau son sexe entre mes fesses. Avec ses mains, il positionne son gland sur mon anus qu’il pénètre lentement sans que je ne ressente aucune douleur. Quand il est enfoncé complètement, il me demande :
- Ca va, je ne te fais pas mal ?
- Non pas du tout. Tu as fait ça comme un chef.
Il est collé à moi, parfaitement emboîté, et reste ainsi pendant un long moment sans bouger ce qui n’est pas pour me déplaire.
Sa bouche collée à mon cou m’embrasse et il m’enlace de ses bras me caressant le torse et le ventre. Je suis aux anges. Jamais aucun homme ne m’a pris ainsi. L’union parfaite telle que je l’ai toujours rêvée et qu’aucun homo n’a jamais pu me donner.
- C’est excellent. Tu fais ça comme un dieu. Je me sens vraiment bien comme ça.
- Moi aussi, me répond-il, je crois que je pourrais rester des heures comme ça tellement je me sens bien avec toi.
Bien qu’il ne fait aucun mouvement, je sens son pénis en moi, sa chaleur, sa rigidité, ses vibrations. Cela me donne envie d’en avoir davantage. Mon anus se contracte et se décontracte imperceptiblement sur la tige rigide et j’entame un léger mouvement des fesses pour le stimuler. Il m’emboîte le pas par de petits coups de reins, suivant le rythme que je suis en train de donner par mes mouvements du cul. Progressivement, il prend le dessus, imposant son propre rythme augmentant l’amplitude et la vitesse de ses coups de rein. Tout son corps se met en mouvement, de plus en plus frénétique, de plus en plus vigoureux. Il me maintient fermement dans ses bras. Sa tête se déplace au tour de la mienne m’embrassant partout. Je tourne la mienne, ma bouche partant à la recherche de la sienne, elles se rencontrent, s’unissent dans un fougueux baiser.
Bien enfoncé en moi, attaché fermement par ses bras, il nous fait rouler sur le lit et il prend le dessus. Je me retrouve ainsi à plat ventre, le sexe tendu sous le ventre et je ressens la force de ses coups de rein, je sens les coups de son sexe au fond de mes entrailles, chacun de ses coups de butoir me fait un bien immense. Le va et vient s’accélère et entraîne tout mon corps dans le mouvement, mon sexe frottant sur le drap se gonfle et s’échauffe de plus en plus. Sous l’effet du frottement, mon gland s’est décalotté ce qui augmente le plaisir, la sensibilité du frein étant mise à épreuve dans le contact avec le drap. La sensation est tellement forte que je dois concentrer toute ma volonté pour m’empêcher de jouir.
Soudain, Mehdi arrête tous ses mouvements, me presse davantage encore dans ses bras ; son corps s’immobilise, son souffle s’arrête, son sexe bat violemment contre les parois de mon anus ; j’en sens les battements jusqu’au fond de mes entrailles puis finalement il se détend.
- Wow, dit-il après quelques minutes, je crois que je n’ai jamais joui comme ça. Je suis vidé.
Vidé, c’est ce qu’il dit mais il lui reste un peu de vigueur pour me serrer une dernière fois dans ses bras et nous faire à nouveau rouler sur le lit pour changer de position tout en restant emboité en moi. Il se retrouve ainsi couché sur le dos et moi sur lui, les 5 fers en l’air.
J’ai moi aussi envie de jouir. Je lui prends la main et la dirige sur mon sexe pour qu’il l’empoigne.
- Wow, me dit-il, quelle pièce ! Je ne voudrais pas me retrouver avec ça dans le cul.
- Pourtant, c’est ce que tu risques d’avoir bientôt si tu ne me soulage pas très vite.
- Ca pas question.
- Alors, branle-moi.
C’est ce qu’il fait rapidement, provoquant d’immenses giclées qui s’écrasent sur son visage, sur le mien, sur mon ventre et qui finalement lui remplissent la main.
- Et bien, tu en avais à revendre toi, me dit-il
- Normal, tu m’excites depuis hier soir.
A suivre...
Bonne journée
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