Samedi 15 décembre 6 15 /12 /Déc 00:00

Samedi 15 décembre

Mehdi (12)

Entre Mehdi et moi, c’est l’entente totale, le bonheur presque parfait et j’apprécie l’équilibre que j’ai retrouvé depuis qu’il s’est installé chez moi. Il s’occupe de tous les travaux ménagers pendant que je suis au boulot. C’est une joie de rentrer chaque soir dans une maison impeccablement rangée et d’y être accueilli par le sourire et les câlins de mon « Monsieur Propre ».
Le bonheur serait total s’il n’y avait pas l’entêtement de Mehdi à faire reconnaître ses droits paternels sur l’enfant que Sabine attend.
- Quand l’enfant sera né, je ferai constater son incapacité à s’en occuper et je demanderai le droit de garde, m’a-t-il confié.
Je ne doute pas de sa capacité à s’occuper d’un enfant. Il ferait certainement un bon père mais la partie est loin d’être gagnée. C’est la guerre ouverte entre les deux futurs parents. Sabine prétend que l’enfant n’est pas de Mehdi mais de Gérard, son nouveau mec. Mon jeune ami est décidé à se battre jusqu’au bout et veut réclamer un test ADN pour prouver sa paternité.
- Je ne veux pas que mon enfant connaisse avec elle ce que j’ai vécu avec ma pute de mère, répète-t-il sans cesse.
Sa future « paternité » le perturbe énormément en lui rappelant des souvenirs d’enfance qu’il me raconte en pleurant.
- Le pire de l’horreur, c’était au temps de Gilbert. Ma mère ne dessaoulait pas de toute la journée. Elle était incapable de s’occuper de son ménage et c’est moi qui devais tout faire. Pourtant, je n’avais pas plus de tous ans. Tu imagines bien que dans cette ambiance-là, je n’aurais jamais pu être un bon élève à l’école. Si je n’avais pas connu tout ça, j’aurais fait des études et j’aurais une bonne situation aujourd’hui.
- Il n’est pas trop tard. Tu peux reprendre des études. Je suis là pour t’aider.
- En plus, Gilbert ramenait souvent à la maison des copains qui ne valaient pas mieux que lui. Il m’envoyait à la cuisine pour leur préparer des pâtes pendant qu’ils s’enivraient et quand je leur apportais, c’est à peine s’ils y touchaient tellement ils étaient saouls. Puis ça se terminait toujours de la même façon, en grosse orgie.
- Une grosse orgie à laquelle tu assistais.
- Non pas toujours. Je me réfugiais dans ma chambre mais parfois, ils me forçaient à y participer.
- Et tu n’avais que 12 ans ?
- Oui. Un jour, j’étais dans ma chambre et Gilbert se met à gueuler après moi. Je fais celui qui n’entend pas, alors il gueule plus fort et finalement monte dans ma chambre et me fait sortir de mon lit. Il me dit qu’ils n’ont plus rien à boire et que je dois allez lui en chercher au magasin de nuit. J’ai le malheur de lui dire que je ne veux pas y aller, que c’est trop tard, que je veux dormir et qu’il n’a qu’à y aller lui-même ou boire du café. Il me flanque une gifle en pleine figure puis m’attrape par la taille et me fait coucher sur ses genoux pour me donner une fessée magistrale. Je gueule et il gueule que je dois me taire, si bien que nos cris font monter ses copains qui rentrent dans la chambre en riant. Il y a alors un de ses copains qui lui dit d’arrêter d’abimer ces belles fesses et qu’il y a des choses plus agréables à faire avec des belles fesses comme celles-là. Cette remarque les fait tous rire encore plus fort et Gilbert répond à l’homme qu’il lui laisse mes fesses et qu’il pourra en faire ce qu’il voudra mais que je dois d’abord aller chercher à boire.
- C’est vraiment dégueulasse et donc finalement tu as dû aller au magasin.
- Oui, mais ce n’était pas la porte à côté et le mec qui voulait mes fesses ses proposé pour y aller en voiture avec moi.
- Il était plutôt sympa, ce mec-là.
- Oui, c’est ce que j’ai cru sur le moment. D’abord il me sauvait les fesses, ensuite il m’évitait de faire des kilomètres à pieds pour aller chercher leurs satanées bouteilles. On est donc allé chercher les bouteilles au night-shop. Puis on est rentré.
- Ils avaient ce qu’ils voulaient. Ils t’ont laissé tranquille.
- Que tu crois. J’aurais mieux fait d’y aller à pieds, ça aurait pris tellement de temps qu’ils se seraient lassés et qu’ils seraient tous rentrés chez eux. Tandis que là…
- Ils étaient encore tous là.
- Oui ils rigolaient tous comme des bossus et ils fumaient… et pas des cigarettes normales !
- Du H ?
- Oui. Quand je suis rentré avec les bouteilles, ils se sont exclamés de plaisir d’avoir la bibine puis ils ont scandé ‘Mehdi à poils on veut voir les fesses’. Ils m’ont fait monter sur la table pour que je fasse un striptease. Je refusais évidemment mais ils ont échauffé le mec qui était venu avec moi au magasin en lui disant ‘Vas-y Armand, fais-nous voir ses fesses et ce qu’on peut faire avec’. Gilbert en rajoutait en disant que si je ne faisais pas ce qu’on me demandait, c’est la fessée qu’il allait encore me donner et que je ne pourrais plus m’asseoir pendant des jours.
- Et ta mère ? elle était complètement ivre comme toujours, je suppose. Elle ne disait rien.
- Elle était affalée à moitié inconsciente dans un fauteuil mais elle à quand même dit quelque chose.
- A quand même et qu’est-ce qu’elle a dit ?
- Allez Fifi, fait leur plaisir, tu vois bien que c’est pour s’amuser.
- Drôle de façon de s’amuser.
- Et ça s’est fini comment ?
- Je suis monté sur la table et je me suis déshabillé. Armand qui s’était déjà remis dans la même tenue que les autres, c'est-à-dire avec seulement le caleçon sur lui est monté sur la table aussi pour m’enlever mon pantalon et mon slip. Puis il m’a fait coucher sur le ventre et s’est couché sur moi pour m’enculer pendant que les autres gueulaient et riait. Quand il a joui dans mon cul, j’ai cru que c’était fini.
- Et ce ne l’était pas !
- Non après Armand, c’est le deuxième qui est passé, puis le troisième et enfin Gilbert qui a terminé la série.
- Ils ont tous joui en toi ?
- Oui. Quand Gilbert a eu fini. J’ai pu me relever et aller me coucher. J’avais leur sperme qui me sortait du cul et qui me dégoulinait sur ses fesses et sur les cuisses. Je t’assure que je n’en ai pas dormi de la nuit.
- C’est dégueulasse. Tu n’en as jamais parlé à personne ? A des profs ou à l’assistante sociale de l’école ?
- Non, j’avais bien trop la honte. 
 
A suivre...
 

N'oublions pas : la pédophilie est un crime qui détruit les enfants.

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Par Gaytan de la Branle - Publié dans : Mehdi - histoire du samedi
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