Branle & Fantasmes Gays
Samedi 20 Janvier
Petite histoire du samedi
Bon, en tant qu'étudiant en Angleterre, j'étais revenu en France pour les fêtes de fin d'année (qui se sont d'ailleurs très bien passées), et pour retourner en Angleterre, j'ai fait du "covoiturage" avec mes colocataires...
Donc gros trajet en voiture, départ le matin et arrivée prévue assez tard le soir.
Vers 19h, nous étions encore à 2h de l'arrivée, j'étais seul à l'arrière de la voiture (mes deux colocs à l'avant), coincé entre la portière et les bagages qui s'empilaient sur la banquette arrière. Il faisait déjà nuit à l'extérieur, dans la voiture l'ambiance était à la somnolence, la radio diffusait les derniers tubes pop à la mode...
Tout d'un coup, l'envie m'est venue de me masturber, comme ça, à l'arrière de la voiture en route avec mes 2 copains à l'avant. Pour me planquer un peu je mets mon gros manteau par-dessus moi, je déboutonne mon pantalon et je descends mon caleçon pour qu'il se retrouve juste sous mes couilles (afin de le remonter en cas d'urgence).
J'ai commencé par prendre ma queue qui n'était même pas raide tellement l'envie de me branler m'était venue subitement. Je me suis caressé lentement les couilles, je les ai prises dans mes mains, malaxées pendant un moment. Je jetais de temps en temps des petits coups d'œil dans le rétroviseur pour vérifier que le conducteur ne se doutait de rien.
J'ai commencé par me branler tout doucement, en faisant monter et descendre ma main le long de ma queue par la technique du crayon (comme si je tenais un crayon), technique qui s'est rapidement transformée en celle du poing (mes doigts ne s'écartaient plus assez vu mon érection!), et j'ai progressivement accéléré le mouvement.
Je tentai de rester aussi discret que possible, en maîtrisant ma respiration, j'alternai de plus en plus la vitesse de mes mouvements, tantôt lents, tantôt rapides, en m'arrêtant de temps en temps pour ressortir ma main de sous mon manteau pour montrer aux deux autres que je m'occupai d'une façon normale à l'arrière...
Tout ça a bien dû durer 1h... A un moment, je n'en pouvais plus de me caresser et de m'arrêter dès que je sentais que mon jus allait sortir. J'aurai regardé mon gland à ce moment, je suis sûr qu'il aurait été d'un rouge vif tellement ma queue était dure.
Je me suis donc mis à serrer ma queue dans ma main puis desserrer de façon régulière tout en continuant à me branler. Sentant que j'allais jouir, je mettais vivement ma 2eme main en face de mon gland, pour éviter que mon sperme ne gicle partout sur mes vêtements. Et j'ai vraiment bien fait! A peine quelques secondes après que ma main aie été en place mon jus est sorti d'un coup d'une force ahurissante. J'en aurai eu jusqu'au menton si je n'avais pas fait attention (et si je n'avais pas eu mon manteau sur moi!).
Ma main protectrice s'est retrouvée aspergée de sperme brûlant, je le sentais qui coulait sur mon ventre et sur mon autre main qui tenait ma queue. Il y en avait vraiment beaucoup, et c'était vraiment agréable d'à la fois sentir ses couilles qui se détendent d'un coup une fois les spasmes terminés et le sperme chaud sur son ventre et qui humidifie le gland.
Dans tout ça je me suis aperçu que je n'avais rien pour m'essuyer. Aucun mouchoir en papier à proximité. J'ai donc dû demander si quelqu'un en avait sur lui, ou dans la boite à gants. Après une brève recherche: RIEN! Rien du tout pour essuyer. Et je n'allais quand même pas laisser tout ça être absorbé par mon caleçon. Les 2 autres se seraient doutés de quelque chose (ne serait-ce qu'à l'odeur qui se serait diffusée dans la voiture)...
Ma seule solution a donc été de me lécher les mains et d'avaler au fur et à mesure le sperme que j'avais sur moi et que je récupérai entre mes doigts (je n'ai pas énormément de sperme mais il est très dense!)...
J'y ai vraiment pris un gros plaisir. Finalement le fait que j'aie dû nettoyer de cette façon rajoutait à la situation, à la peur de se faire découvrir, et à l'obligation de se débarrasser des "preuves"...
Une fois arrivé à la maison, je me suis encore masturbé en repensant à la situation. Ca m'arrive encore d'y penser pour m'exciter et pour me remémorer une très bonne branlette!
Bon week-end