Branle & Fantasmes Gays

Samedi 10 mars

Un ami

Je me sais gay depuis mon adolescence. Difficile dans un collège de Province de vivre de chaleureuses expériences mais au lycée, j'ai rencontré dès la seconde un garçon avec lequel j'ai tout de suite accroché. Pendant un an et demi, ça été une franche rigolade.
Clairement hétéro il avait une petite copine que je connaissais. Je ne sais plus quand j'ai goûté à son gland pour la première fois mais ça c'est passé ainsi :
Ses parents possèdent une petite maison près d'une station balnéaire et ils m'y invitaient souvent pour le week-end. Après une journée d'activités éreintantes, nous rentrions tout deux et discutions jusqu'à tard dans la nuit. Un soir, il s'endormit plus tôt que moi et excité par la journée, je me suis surpris à guetter comme je savais si bien le faire, la cadence de sa respiration. Très vite j'eu l'intime conviction qu'il dormait dans son lit juste à côté de mon matelas posé à même le sol. Je me relevai sur le coude pour jeter un œil. Là, j'eu la respiration coupée, car il s'était dégagé de sa couette à cause de la chaleur et je pouvais voir son sexe légèrement plus gros qu'il n'aurait du, trônant au milieu de sa touffe de poils drus. Il n'avait mis qu'un T-shirt court et suffisamment étroit pour montrer son corps bien en chair et un peu musclé.
La respiration saccadée par l'audace dont je faisais preuve, je commençai par poser doucement ma main sur son flan. Aucune réaction. Je l'enlevai alors et la posai plus près de son entrejambe. Il ne réagit pas plus, alors lui caressant les pectoraux je descendis ma main sur ses abdos fermes et plats sous son T-shirt et, atteignant son pelvis, je slalomai entre ses poils pour parvenir à sa verge qui se soulevait légèrement par à-coups alors que son érection naissait.
Manque de chance, il se retourna et lâcha un grognement.
Complètement paniqué, je me suis rejeté sur mon matelas et feignis d'être profondément endormi. Il ne faisait plus de bruit et je me relevai pour voir s'il dormait encore. Affirmatif. Il s'était mis sur le ventre et je pouvais voir son superbe cul, bien rebondi et poilu. Ses jambes légèrement écartées, je tâchais d'atteindre ses couilles par l'arrière. Je touchais la base de son pénis, ce qui le fit se retourner aussi sec. Re-panique et re-jetée sur le matelas : en vain, il ne s'était pas réveillé. Je n'osai pas le croire. Et finalement j'ai tenté une fois de plus de le caresser et de le branler. Il ne bandait pas au maximum, mais j'adore voir les sexes qui se dressent petit à petit sous l'effet d'une bonne branlette. Ce que j'ai tout de suite entrepris : mes doigts jouèrent d'abord avec ses énormes testicules, puis remontèrent doucement le long de sa verge pour le décalotter arrivés à son gland. Je lui ai saisi la verge à pleine main et j'ai commencé à le branler et n'y tenant plus j'ai approché ma bouche de sa bite et lui ai léché le gland doucement, à l'endroit que je trouve sensible, puis je l’ai gobé, descendant pour finalement me retrouver avec sa queue toute entière dans la bouche. J'aimais ça, cette verge, cette moiteur, la mouille que son érection nocturne, cette furtivité, cet avilissement.
Ce petit jeu a recommencé quelques autres fois où j'allais chez lui, à la mer, jusqu'au jour, où voulant m'amuser un peu, j'ai tâté le terrain discrètement, alors qu'il n'était pas endormi. Aïe. J'ai tellement bien feint le sommeil, que je l'ai entendu dire : "J'ai rêvé ou quoi ?", et il ne m'en a jamais reparlé...
La dernière fois, ça été carrément catastrophique, car là, même s'il bandait au maximum, lorsque j'ai voulu le sucer, il m'a repoussé et même s'il n'a rien dit le lendemain je n'ai jamais recommencé.
Je lui ai fait mon coming-out il y a un mois. Bizarrement il a été très étonné. Nous restons très bons amis et j'ai arrêté de fantasmé sur son corps, je ne sais pas s'il a envie de s'expliquer avec moi sur cet épisode qui j'en suis sûr n'a pas été oublié, tout ce que je sais c'est qu'apparemment il ne veut pas essayer avec les mecs.

Bon Week-End

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Sam 10 mar 2007 Aucun commentaire