Branle & Fantasmes Gays
Samedi 28 Avril
Une verge énorme
J’avais 20 ans et je vivais toujours chez ma mère lorsqu’un jour, un cousin de 3 ans mon cadet et que je n’avais plus vu depuis des années vint dormir chez moi. Nous avions passé la soirée dans un café à boire et à nous raconter les dernières nouvelles de la famille. En rentrant à la maison, nous avions décidé de dormir tous les deux dans ma chambre, comme nous l'avions fait mille fois dans notre jeunesse, pour nous rappeler les bons souvenirs du temps passé. Comme je n'avais qu'un lit à deux places, nous étions allongés l'un à coté de l'autre. Je n'avais pas de tendance homosexuelle et lui non. Par contre, j'avais une curiosité naturelle à voir les sexes des autres garçons parce que le mien me semblait petit : 14 cm et un diamètre d'environ 3,20 cm. Nous nous étions couchés tard quelque peu fatigués et il s'était endormi rapidement. De mon coté, j'avais quelques difficultés à trouver le sommeil. L'idée me prit de regarder son sexe pour comparer sa taille avec le mien. J'avançai fébrilement ma main sous les draps en feignant de dormir au cas où il se réveillerait ! Ma main s'approchait lentement lorsque soudain, je touchai sa jambe. Au premier toucher, il eut une petite réaction de retrait. Simple réflexe sans doute. La paume de ma main était en sueur, mon cœur battait à une vitesse folle et j'avais la bouche sèche. J'avançais lentement en évitant de le toucher mais en reposant ma main de temps à autre pour sentir "où j'en étais". La lune éclairait la chambre mais sous les draps, tout ce passait à l'imagination. Je continuais mon exploration lorsque soudain j'attrapai quelque chose d'épais et relativement dur; je compris de suite que c'était son poignet. Mon imagination renvoyait des images de la scène si bien que je conclus rapidement qu'il avait mis sa main dans son slip. Un instant je fus découragé et décidai d'abandonner. Trop risqué. Mais si proche du but, l'envie de voir était plus forte. D'abord retirer la main doucement pour la poser sur les draps. Je tirai doucement sur le poignet pour dégager sa queue mais rien à faire. A croire que sa main était accrochée à ses couilles. Je pris alors le risque de descendre ma main dans son slip pour libérer la sienne. Alors que je continuais mon exploration le coeur battant, je sentis un énorme testicule poilu. Je ne bougeais plus. J'avais du mal à comprendre. Un poignet mais pas de main !!!
Je remontai le poignet mais j’atteins bientôt un gland dur et gonflé. Ciel, ce que je croyais être son poignet depuis le début, était sa queue. Une queue énorme, d'un diamètre si colossal que mon pouce et mon majeur ne pouvait pas en faire le tour ! J'étais subjugué. Comment pouvait-on avoir une queue aussi grosse ? Ma curiosité grandit encore et j'eue envie de la voir à la lumière. Pour cela, il suffisait de retirer les draps et laisser la lune éclairer le tableau.
Je retirai ma main lentement, puis fis semblant de dormir et repoussai lentement les draps. Le toucher de ce dernier sur son corps le fit changer de position. Dans son sommeil, il sortit une jambe au dessus des draps et se tourna du coté opposé. Je ne voyais donc plus que ses fesses et son dos. Je fus très déçu et bien ennuyé, si près du but. Alors que je réfléchissais à une solution, il se retourna de nouveau et sortit sa deuxième jambe. Allongé au dessus du lit, il était maintenant sur le dos et mis ses mains derrière sa tête comme s’il attendait que je le reprenne en main. Dormait-il vraiment ? La suite me laisse à penser que non.
J'attendis quelques minutes qu'il se rendorme profondément en contemplant son sexe. Il perdait quelques peu de sa rigidité. J'approchai ma main de nouveau, saisis son sexe pour constater de visu que je ne pouvais en faire le tour. Bien tenu en main, je le dressais lentement vers le plafond. Machinalement je commençai un mouvement de masturbation lent et régulier. Cette queue, qui se raidit un maximum, était réellement énorme. De mon autre main, je saisis ma propre queue pour tenter une comparaison. J'étais ridicule !!!
Je continuais de le masturber lentement lorsque je fus pris d'une attirance soudaine. J'approchai doucement ma tête en décalottant son énorme gland. Quand celui ci fut dégagé, mes lèvres se trouvaient à quelques millimètres et du bout de la langue je léchai le magnifique membre. Son gland m'était offert, dressé devant moi. Mes lèvres le couvraient de baiser lorsque soudain je laissai glisser ma langue sur son bord inférieur. La réaction fut immédiate, il se gonfla de plus belle et mon cousin eut un léger mouvement de cabrage des reins. Cela semblait lui faire du bien. Engaillardi, je léchai sa queue du haut en bas puis la rentrai dans ma bouche. Je crois que je n'aurais pas pu y ajouter un doigt tellement cette énorme bite prenait de place. La fellation dura peut être vingt minutes, peut être une heure. Je ne sais plus mais j'y ai pris un plaisir incroyable. Je crois avoir joui plusieurs fois dans les draps. J'imaginais les pires fantasmes, je le voyais en train de baiser ma copine, elle qui était habitué à ma petite bite. J'aurais voulu l'entendre crier à chaque coup de rein. Alors que mes fantasmes duraient, mon activité prenait de plus en plus d'ampleur et les mouvements étaient de moins en moins discrets. Ma timidité du début avait laissé place à une fellation dans les règles de l'art. Son sexe avait commencé à mouiller depuis longtemps et j'avais repéré des mouvements de reins réguliers mais de faible amplitude de sa part, signe évident qui faisait semblant de dormir. Il devait être aux anges. Je songeai à arrêter de peur qu'il intervienne ou qu'il éjacule. Je décidais encore deux ou trois allers retours dans ma bouche avant d'arrêter.
Soudain, alors que sa queue était enfoncée au plus profond de ma gorge, je sentis un liquide chaud et épais m'inonder la bouche. Ni le goût, ni la texture n'étaient déplaisants, juste inconnu. J'avais souvent fantasmé sur le fait de goûter mon propre sperme pendant mes séances de masturbation, mais à chaque fois c'était la même chose, après l'éjaculation, ma semence dans la main ou sur le ventre, le courage me manquait pour porter celui ci à ma bouche. Cette fois, au moment le plus inattendu, je me retrouvais la bouche pleine d'une première giclée de sperme chaud. Un peu déstabilisé, je décidai sans trop y réfléchir d'avaler le liquide. A peine avais je dégluti qu'une seconde giclé de son meilleur miel toujours aussi chaud m'inonda de nouveau la bouche. Je continuai à le masturber en avalant, j'eu l'impression qu'il avait laissé partir des litres. Je n'avais pas le temps de déglutir qu'une nouvelle vague venait se mêler à la précédente.
Après quelques secondes, il se calma et je continuai à le pomper lentement. Puis je procédai au nettoyage du matériel. Je passai ma langue le long de cette énorme sexe puis je le remis dans son slip et me couchai avec se goût unique que j'essayais pour la première fois.
Bon Week-End