Branle & Fantasmes Gays

Samedi 26 Mai

Alexandre et l'intérimaire

Bien que totalement seul dans mon activité professionnelle, mon bureau est situé au sein d'un complexe avec d'autres services. Une salle de café et une salle fumeur me permettent de rencontrer des voisins de locaux et certains d'entre eux sont charmants. Je suis particulièrement troublé par un grand brun, Alexandre, d'environ 30 ans, élancé, légèrement poilu et qui laisse deviner un joli paquet quand il met un pantalon moulant. Malheureusement, il ne fume pas et nos rencontres se limitent à de simples bonjours dans les couloirs mais je ne manque jamais de le mater à chaque fois qu'il passe devant mon bureau.
Le service dans lequel il travaille fait régulièrement appel à des intérimaires. C'est lui qui embauche mais habituellement, les personnes retenues sont des filles.
Au début de la semaine, alors que je fume ma clope, la porte s'ouvre et un splendide brun d'environ 25 ans entre. Je flashe immédiatement. Les yeux bleus, un pantalon velours moulant son petit cul et son paquet sans pour autant provoquer, un visage carré, mal rasé, musclé. Bref, le fantasme qui devient réalité. Au cours de la semaine, j'essaie systématiquement de surveiller la salle de pause pour m'y rendre en même temps que lui. J’apprends que son contrat ne dure qu'une semaine, et ne parvient pas à lui faire part de mon attirance.
A chaque pause je me débrouille pour m'installer à côté de lui et à laisser traîner mes pieds dans sa direction au cas où il souhaiterait me montrer de l'intérêt. Rien, aucun signe. J'en prends mon parti. Vendredi, je termine plus tard que d'habitude. Je pense que les locaux sont vides, mais je vois la voiture de l’intérimaire sur le parking, ce qui est étonnant pour un intérimaire à cette heure tardive. Je vais à la photocopieuse, pas loin de son bureau, tout semble calme et vide. Je me résous à rentrer chez moi. En partant, je passe à côté du bureau d'Alexandre et j’entends des gémissements. Je m'arrête, j’écoute, je regarde discrètement par la vitre. Alexandre est assis à son bureau mais ne semble pas travailler, il est comme ailleurs. Je frappe à sa porte et j’entre sous un prétexte futile : « à quelle heure tu pars ? »
Il est surpris de me voir et a du mal à articuler une réponse :
- Bientôt, je fermerais si tu veux.... Enfin sauf si tu veux rester un peu.
- Je veux bien rester un peu, pourquoi faire ?
J’étais alors très excité, je pense que la bosse qui gonflait dans mon pantalon avait retenu son attention.
- Approche.
La voix était douce, grave et suave. Je fais le tour du bureau et constate que la braguette est ouverte, et qu'une magnifique pine d'au moins 20 cm en sort. Elle est turgescente, humide, chaude et raide comme un piquet. Sous le bureau j'aperçois notre intérimaire, un peu gêné, mais avec des yeux plein d'envie.
- Tu veux jouer avec nous ?
- Avec grand plaisir, nous sommes seuls dans les locaux ?
- Oui.
Je me jette alors sur Alexandre, lui roule une pelle et descend doucement vers son chibre. Quand je le prends en bouche, il est bon chaud, vigoureux, Alexandre commence à me masser le paquet. Ma queue ne tiens plus dans mon slip, il déballe le paquet. Pendant ce temps, l'intérimaire me roule une pelle, nous suçons Alexandre ensemble. La position n'étant pas confortable, l'intérimaire sort du bureau, nous nous foutons à poil et nous installons au sol. Chacun prend une queue en bouche avec avidité. Le plaisir est intense, fabuleux. Je baise avec deux fantasmes vivants. Notre jeune intérimaire semble en vouloir plus, Alexandre commence à lui triturer la rondelle, il aime. Il le prend alors doucement, puis plus sauvagement. Pendant ce temps, je le suce et Alexandre me branle. Heureusement que nous sommes seuls, car les cris sont importants. Nous jouissons tous ensemble en déversant notre semence sur l'intérimaire.

Bon week-end

Sam 26 mai 2007 Aucun commentaire