Branle & Fantasmes Gays
Samedi 2 Juin
Goldenshower au parking de l'autoroute
Envie de pisser tout autant que de jouir, le seul endroit ad hoc, le parking d’autoroute. Je roule et mon sexe pressé par mon jeans se développe lentement, le tissu rendu fin par les nombreux lavages laisse apparaître ma queue, il est si fin que mon gland se dessine. Mon sexe est bandé, veineux, bloqué dans cet état par mon cockring 55. Il est plaqué le long de ma cuisse gauche, il va éclater !
Je stoppe ma caisse, sort, jette un regard circulaire, y'a pas beaucoup de monde à cette heure.
Un mec aux cheveux blanc attend dans sa Merce., pas mon style ce mec trop bourge !
Il me regarde l'entre-jambe fixement. Je soulève mon T-Shirt pour mieux saisir ma ceinture et remonte mon froc.
Mes couilles sont aussi engagées dans la pipe du pantalon, la bosse est obscène mais ça m’excite.
Les boutons de braguette glissent, ma main entre, prend ma queue, elle la sort, je pisse debout, jambes écartées. Le pied !
Les feuilles mortes sont heureuses, vu le bruit de plaisir qu'elles me renvoient. La goldenshower est large comme une pluie d’orage. Mon cul se contracte une fois, deux fois, trois fois, le jet porte loin au rythme de mon plaisir, un frisson de bien-être circule de mon cul à la base de ma nuque.
Dernier jet, je caresse mon sexe légèrement dégonflé, mon regard se lève, un ange passe tout de noir vêtu. Une élégance rare, il ne marche pas, il vole. J'ai vu la beauté !
Hé mec bouge ton cul, suis le ! Ok, OK, mais ce n’est pas pour moi ce genre de beauté ! Du con qu'est ce que tu en sais ! Vas-y !
L'oiseau est passé, il est dans le bois, je me presse, il est à cinquante mètres, droit, mains dans les poches, cul tendu par le jeans, pecto délicats dans le T-shirt, bras et visage bronzés, cheveux courts, Ray-Ban noires, combat shoes sans lacets. WOUUUUAA ! Quel look t'as mon coco !
Je m’avance, il décolle, léger, gracieux, rapide.
Hé man pas si vite, il a disparu ! Il est où ?
Je continue à marcher, j'suis pas un ange moi. A droite, à gauche, j'sais pas, je cherche. Végétation dense et souple, obstacles énervants, merde ..............merde trop lent à la réac.
Un bruit sec la direction est trouvée, je me presse, les bruits sont plus forts, il s’éloigne. Compteur cardiaque 200.
Une excitation grave prend mon souffle, j'en ai plus assez pour courir, ça cogne, bordel arrête de fumer connard.
Cent mètres, deux cents, trois cents, j’sais plus ..........Silence.
Je stoppe, je souffle, je sue, je bande !
Regards à gauche, il est là à 20mètres, debout contre un arbre, de l'autre côté d'un creux que je dois franchir.
Il était l'ange noir, il est devenu l'ange bronzé, nu. Les Ray-Ban sont là, les combats shoes aussi, je découvre le slip blanc.
Le souffle coupé, je reste bloqué, je profite de l’apparition, je suis en érection. Je sors ma bite par la braguette restée ouverte, il se caresse.
L'invite est belle, je me précipite, et à mi-pente opposée je glisse. Bravo connard ! J'ai la tronche dans les fougères, je lève la tête pour contempler le colosse de Rhodes à un mètre au-dessus de moi. Quel spectacle !
Il s'est approché et Calvin, son slip blanc a disparu ! Il se tient la queue et me dis : ' Approche mec ! '
Je suis à ses pied et le dévore des yeux, je regarde partout pour ne rien perdre de cet instant, je gave mes neurones et découvre les uns après les autres tous les détails de son corps.
Sa peau satin, ses dents blanches éclatantes, son sourire ouîe ouîe, son sexe glabre un modèle et soudain..... Soudain...... les fougères chantent autour de moi ..... Je mets une seconde à comprendre qu'il pisse devant moi !
My god il avance , il se déverse sur moi , un jet dans la gueule , un autre , le suivant encore plus fort , il me trace le T-shirt , j'en prend partout , rien de continu que des jets . Autour de moi des milliers de gouttelettes étincellent. Je comprends mieux le mot ‘Golden’. Je bande à mort.
Je suis accroché à ses jambes et lèche les éclaboussures, je remonte lentement et mon nez heurte le bout de son sexe. Peau mouillée et salée ma langue le happe, je rêve, je suis loin, loin .....
A ce moment j’entends un déclic d'un objectif de photo. Tête droite.
Alerte. Mister Merce. est là à 10 mètres, il mitraille ce con ! COEUR 240 !
Je me redresse, jure, il fout le camp. Ok man, on se retrouvera ! J'suis trop bien là où je suis, je continue l’ouvrage.
Je suce, lèche ses couilles lisses, écarte ses cuisses, introduis mon doigt dans la raie humide et le plonge délicatement dans ....... 'Non pour le reste je préfère que l'on aille chez moi .....' éclate t-il !
Béni des dieux aujourd'hui ! ' Mais si tu continues, je vais venir .....'
A vos ordres Altesse, il est trop beau ! Il crie une fois, deux fois, sa Q se contracte, il gueule, la cinquième contraction m'envoie de fins jets sur la face ....... que c'est beau merde !
Le silence revient, on se calme, je l'embrasse à pleine bouche, lui caresse les fesses - de l'or !!!! - Il frémit et me dit ' Merci, c'était super !
Il se tourne, récupère son Calvin et m'essuie le visage délicatement. Il se penche et me lèche le visage de manière gourmande.
' J'ai envie d'aller plus loin avec toi .... Viens chez moi c'est pas loin...'
Séchés, revêtus nous nous dirigeâmes vers les voitures où Mister MERCE. changeait une roue, merveilleux destin mec aujourd'hui !
Les portières ouvertes et la concentration du mec me permirent de prendre l'appareil jetable abandonné sur le tableau de bord.
' Salut Merce, envoie-moi la note !'
Bon week-end