Branle & Fantasmes Gays
Samedi 23 Juin
Mon pompier
Cette histoire se passe en fin d'année, à la période où les pompiers passent proposer leur calendrier. Il était déjà tard ce soir là, et, après une journée de travail bien remplie, un moment de détente devant la télé à mater un bon porno gai était le bienvenu. Je sortais de la douche et, comme je n'attendais personne, j'étais resté avec une serviette autour de la taille afin d'être rapidement à l'aise pour me branler devant mon DVD. C'est au moment où je choisissais mon film que la sonnette retentit. Un rapide coup d'oeil par la fenêtre : surprise ! Un magnifique pompier se postait devant ma porte.
J'ouvre et reçois ce bel étalon avec mon plus beau sourire. Surpris par ma tenue, il se confond en excuses et me propose de passer un autre jour. Je vois cependant que mon accoutrement ne le laisse pas indifférent étant donné la bosse qui apparaît entre ses jambes, bien moulée dans son treillis bleu foncé.
Je lui réponds que cela ne me dérange pas, lui propose d'entrer pour ne pas prendre froid et pousse le vice jusqu'à le faire asseoir face à moi afin qu'il ne manque rien de mes attributs généreux : un sexe plutôt long et volumineux, rasé, avec des couilles bien proportionnées. Poussé par ce que je viens de voir gonfler dans son pantalon, je remets une couche, précisant que, n'attendant personne ce soir-là, surtout pas un si vaillant soldat du feu, courageux et bien foutu, je me suis laissé aller dans cette tenue légère.
Il me répond que cela ne le choque pas du tout, qu'il a l'habitude d'en voir bien d'autres tous les jours à la caserne dans la même position, et parfois pire. Je lui demande ce qu'il entend par pire. Il s'approche alors de moi, tire sur ma serviette : je me retrouve entièrement nu devant lui, la queue déjà bien raide, presque au garde à vous...
Il me dit alors :
"C'est dans cette tenue que je vois la plupart de mes collègues. Et avec certains, j'explore bien plus que l'épiderme..."
Sans attendre, je plaque ma main sur son sexe raidi par l'excitation de la situation, je constate sans tarder que le volume et la longueur de celui-ci dépasse de loin ce que j'ai déjà pu expérimenter jusqu'alors...
En déballant son matériel, je constate en fait qu'il ne s'agissait que d'un début d'érection : le plus impressionnant était donc à venir.
Le beau gaillard est plutôt entreprenant : il faut dire, sans vanité, que ma lance à incendie à moi n'est pas ridicule et que mon corps, travaillé par la natation, peut faire envie. Il se met à genoux face à moi et gobe d'emblée ma bite qu'il lèche et aspire dans un mouvement lent et ample. Je me laisse aller au rythme de sa respiration ; ce mec est fait pour ça : pomper des queues. Il se relève ensuite, se met devant moi, de dos, et se travaille la rondelle pour mon plus grand plaisir. Rapidement, deux puis trois de ses doigts sont enfournés dans son anus ; bientôt, tous ses doigts puis sa main entrent dans ce temple du plaisir...
Je me lève et lui fait comprendre que ma main aussi a envie de visiter ce lieu exquis. Je n'ai aucun mal à pénétrer de ma main droite son trou du cul dilaté. Quand le séjour m'a rassasié, je me rassois sur le fauteuil et l'invite à se poser sur mon chibre en feu. C'est sans aucune résistance que mon sexe s'installe en lui. Il commence alors sa danse du bassin jusqu'au moment où je le préviens que mon foutre est prêt à inonder son rectum.
Il se retire lentement, se remet à 4 pattes et recommence sa fellation : il ne lui faut que quelques secondes pour me faire cracher mon jus. De longs jets bien fournis viennent envahir sa bouche, et, pas avare, il vient partager cette semence avec ma langue, me roulant une pelle mémorable.
Il se relève ensuite, se place au-dessus de moi et entame une masturbation langoureuse qui aboutit à une pluie de sperme sur mon visage et sur mon torse. Nous nous embrassons longuement, mêlant ainsi son laitage à nos deux torses.
Trouvé sur le Net
Bon week-end