Branle & Fantasmes Gays
Samedi 30 Juin
Un nageur de rêve
Quand j’avais 18 - 19 ans, j'avais l'habitude de me rendre dans une résidence privée de Biarritz pour faire quelques longueurs et m'amuser avec d'autres mecs de mon âge. On se poursuivait autour de la piscine, on passait dans l’eau entre les jambes des uns et des autres...
Un jour, je me suis amusé à tripoter la bite de mes partenaires de jeu en arguant du fait qu'il fallait éviter de se faire toucher et résister le plus possible...
Bien évidemment, avec ce jeu, mon sexe n’a pas tardé à durcir dans mon short. Heureusement que je n’avais pas un slip de bain mais un boxer dans lequel ma queue pouvait évoluer librement. Pour me calmer et me faire débander, j’ai décidé de quitter l'eau pour m'étendre sur une serviette et profiter du soleil de la côte basque…
Des regards se sont tournés vers la bosse qui déformait mon short au moment où je me suis rendu à la douche pour enlever le chlore dont l'odeur est persistante si on ne se lave pas rapidement.
La douche se trouvait à l'intérieur d'un petit local technique de sorte qu'une seule personne pouvait se doucher à la fois, ceux qui attendaient, par courtoisie ou savoir vivre ne regardaient pas la personne qui était affairée sous la douche.
Pourtant ce jour là, deux mecs sont rentrés après moi et n'ont pas cessé de me mater faisant des commentaires sur ma pilosité, sur l'interdiction de mettre des shorts dans les piscines et la nécessité de remplacer ce qui cachait mon intimité par un slip de bain bien plus révélateur.
J’ai fait semblant d’ignorer les intrus en espérant toutefois bénéficier d'une première expérience avec eux.
Mon érection persistait ; je me suis allongé sur le ventre pour éviter de provoquer le voisinage composé essentiellement de dames âgées et de jeunes gens bien sous tout rapport, en tous cas en apparence.
Je me suis assoupi et quand je me suis réveillé, il n'y avait quasiment personne dans l'eau ni sur les plages de la piscine. J'en ai profité pour faire un dernier plongeon. A ce moment, un homme d'une trentaine d'années, habillé d'un pantalon en toile, d'une chemise et d'une cravate s'est approché de la piscine. Il n'avait aucun sac, ni serviette. Ne faisait-il que passer ou avait-t-il l'intention de rester sur place?
J’ai poursuivi mes longueurs en jetant un oeil sur l’homme pendant qu’il ôtait son pantalon, sa chemise, ses chaussures… Il portait un caleçon en toile. Qu'allait-il faire? Se changer devant moi? Entrer nu dans l'eau ?
Avec une nonchalance certaine, le mec a plongé dans l'eau avec son caleçon qui laissait tout deviner du colosse de chair qui pendait entre ses jambes. Le mec était royalement monté par rapport à moi qui rêvais de voir de plus près le sexe d'un homme, de le prendre en main, de le caresser et de l'exciter pour tester la dureté des tissus.
Je me suis mis à nager en apnée pour de mater sous l'eau l'effet du courant sur cette bite appétissante mais d'accès immédiat interdit.
Je n'osais aborder l'individu quand il est sorti de l'eau pour se rendre à la douche. Je l’ai suivi, je suis entré avec lui dans le local technique en lui demandant si ça le dérangeait que je reste à l'intérieur compte tenu du vent et de la sensation de froid qu'il procurait. Il m’a répondu qu'il n'y avait aucun problème mais s’est retourné sans doute pour préserver sa pudeur…
Ses fesses étaient musclées et imberbes comme dans les magazines. Il s’est à nouveau retourné et m’a fait face, la tête en arrière, le visage sous le jet d'eau, sans voir que mon regard portait sur ce sexe désirable et parfaitement visible au travers du caleçon transparent sur lequel l'eau s'écoulait lentement.
Son gland était décalotté, son sexe d'une longueur impressionnante. J'aurais aimé lui parler, l'aborder.
J'en ai rêvé, j'en rêve encore puisqu'à ce jour, malgré mon désir ou mon intérêt pour le corps et le sexe masculin, je n'ai toujours pas franchi le cap.
Bon week-end
