Branle & Fantasmes Gays
Samedi 14 Juillet
Bonne fête, les Français, et haut les bites.
Aventures de vacances (2)
C’est fou l’effet qu’il me fait cet homme qui m’a pris en stop. Son charme naturel et mature, sa façon de me regarder avec son sourire et ses yeux pétillants, l’insistance qu’il met à poser ses yeux sur mes jambes et surtout sur mon entrejambe gonflé me donne une trique que je ne peux pas contrôler. J’ai trop la honte à l’idée qu’il pourrait s’en apercevoir, d’autant plus qu’avec le short très court que j’ai mis pour être à l’aise par ces grandes chaleurs, le bout de mon gland commence à dépasser, heureusement caché par le slip. Pourvu surtout qu’il n’ait rien vu. Je croise mes mains sur la bosse pour la cacher.
- Tu fumes ? me demande-t-il.
- Oui.
- Alors, sers-toi si tu veux. Le paquet est là dans le vide poche.
- Merci
- Ce serait sympa de ta part si tu m’en allumais une aussi.
- Pas de problème… Voilà, lui dis-je en lui tendant la cigarette que je viens d’allumer.
- Merci. Comme ça, je vais savoir à quoi tu penses.
- Ah oui ? Comment ça ? dis-je en rougissant.
- Oui, tu ne sais pas ce que l’on dit ?
- Non.
- Quand on tire sur une cigarette allumée par quelqu’un d’autre, on peut deviner toutes ses pensées.
- Ah oui ? Ca m’étonnerait que ça marche… Vous pourriez deviner ce que je pense ?
- Hummm peut-être, me dit-il en aspirant une grande bouffée de fumée d’un air inspiré et en matant de nouveau mon entrejambe.
- Je voudrais bien voir ça.
- En tout cas, ce que je peux te dire, c’est que je devine que tu es un garçon très chaud.
Sa réponse me souffle et me fait piquer un fard. S’il me regarde, il va s’arrêter net se croyant au feu rouge. Je balbutie finalement.
- Avec le temps qu’il fait, ce n’est pas difficile d’être chaud.
- Ah, c’est ça ! C’est la chaleur qui te fait bander comme ça, me dit-il en riant.
J’ai la honte. Je voudrais me cacher sous la banquette.
- Note qu’il n’y a rien de grave à bander comme ça. C’est même beau à voir.
- Ah ….
- Oui, je t’assure. Ca ne me déplaît pas du tout. Ca me fait même bander aussi, regarde.
Il porte un pantalon assez ample, si bien que son érection n’est pas tellement visible. Il faut bien regarder pour remarquer quelque chose.
- Je ne vois rien, lui dis-je
- Ca, c’est parce que je sais choisir mes pantalons. Sens si je mens, me dit-il en prenant ma main gauche pour la placer sur son sexe.
- Oui, je sens. Ca ne vous gêne pas ?
- Si, un peu. Je serais mieux si j’étais un peu dégagé. Tu ne veux pas me déboutonner ? Je me sentirais mieux.
- Je n’oserais jamais, dis-je en piquant un nouveau fard.
- Mais si. Il faut un peu te décoincer mon gars. On est entre hommes, il n’y a pas de gêne à avoir. Fais-le ça me rendra service.
- Je ne saurais pas, faites-le vous-même si vous voulez.
- Non, ce n’est pas possible pendant que je conduis. Puis c’est de ta faute si je bande comme ça, donc tu es obligé de me rendre ce service. Je ne te demande rien d’autre que de déboutonner le pantalon
- Oui, mais je vais vous empêcher de conduire.
- Franchement, quel empoté tu fais toi ! D’abord tu m’allumes et ensuite tu ne peux pas assumer.
Quelques instants plus tard, il s’arrête dans un petit parking sur le bord de la route.
- Maintenant, tu assumes ou je te laisse là.
- Je veux bien tout ce que vous voulez mais je vous préviens que je n’ai jamais rien fait de pareil.
- Ne t’inquiète pas. On se met simplement à son aise.
Joignant les gestes à la parole, il ôte son pantalon et son slip et les jette sur la banquette arrière.
- Ne te gêne pas, fais comme moi, me dit-il.
Je m’exécute. C’est vrai que dégagée, la queue est tout de suite plus à l’aise pour pointer vers le haut.
A suivre…
Bon week-end